
 Par ses rencontres et ses découvertes, Michael va grandir, changer ses points de vue et faire des choix. Selon Kirk Henry, l’animation a été un formidable moyen d’expression pour mettre en scène le roman tant « elle apporte une dimension de conte, contrairement au cinéma en prises de vue réelles, et [parce] qu’elle nous permet de croire au merveilleux ».
Par ses rencontres et ses découvertes, Michael va grandir, changer ses points de vue et faire des choix. Selon Kirk Henry, l’animation a été un formidable moyen d’expression pour mettre en scène le roman tant « elle apporte une dimension de conte, contrairement au cinéma en prises de vue réelles, et [parce] qu’elle nous permet de croire au merveilleux ».

 En effet, le film invite à réfléchir sur notre place dans le monde et notre relation à la nature. À travers les échanges entre Michael et Kensuké, l’auteur défend l’idée qu’il est possible de renouer avec soi-même et avec l’autre, même dans les circonstances les plus extrêmes. Kensuké, un homme marqué par son passé, victime de la Seconde Guerre Mondiale, incarne cette sagesse qui se trouve dans l’acceptation du silence, du temps et de l’observation. Il transmet à Michael des leçons de survie, mais aussi des valeurs humaines essentielles : l’importance de l’écoute, de la patience et de l’empathie.
En effet, le film invite à réfléchir sur notre place dans le monde et notre relation à la nature. À travers les échanges entre Michael et Kensuké, l’auteur défend l’idée qu’il est possible de renouer avec soi-même et avec l’autre, même dans les circonstances les plus extrêmes. Kensuké, un homme marqué par son passé, victime de la Seconde Guerre Mondiale, incarne cette sagesse qui se trouve dans l’acceptation du silence, du temps et de l’observation. Il transmet à Michael des leçons de survie, mais aussi des valeurs humaines essentielles : l’importance de l’écoute, de la patience et de l’empathie.
