
 C’est cet écueil que Marianne Thivend cherche à éviter, convoquant une grande variété de sources (parmi lesquelles des annuaires commerciaux, des rapports de syndics, des cartes de visite, des jugements de prud’hommes, des registres de mariage, la presse économique et politique ou des comptes-rendus des congrès féministes) pour contourner les biais de genre présents dans les archives. En cela, si l’historiographie française a généralement privilégié les formations menant aux hautes sphères sociales, négligeant les métiers plus populaires et les marges de la comptabilité, Ces femmes qui comptent explore ces espaces marginaux, tels que les petites entreprises et les domiciles, en montrant que les femmes ont joué un rôle crucial dans l’histoire de la formation commerciale, et en étudiant l’impact des femmes pionnières, enseignantes et administratrices qui ont exercé une influence significative dans ce champ.
C’est cet écueil que Marianne Thivend cherche à éviter, convoquant une grande variété de sources (parmi lesquelles des annuaires commerciaux, des rapports de syndics, des cartes de visite, des jugements de prud’hommes, des registres de mariage, la presse économique et politique ou des comptes-rendus des congrès féministes) pour contourner les biais de genre présents dans les archives. En cela, si l’historiographie française a généralement privilégié les formations menant aux hautes sphères sociales, négligeant les métiers plus populaires et les marges de la comptabilité, Ces femmes qui comptent explore ces espaces marginaux, tels que les petites entreprises et les domiciles, en montrant que les femmes ont joué un rôle crucial dans l’histoire de la formation commerciale, et en étudiant l’impact des femmes pionnières, enseignantes et administratrices qui ont exercé une influence significative dans ce champ.



