et des plafonds moulurés que Stéphanie Léon a développé un goût immodéré pour l’univers fantaisiste de la Renaissance mais aussi pour les éclairages tamisés qui peuplent ses dessins. L’album se caractérise en effet par une narration visuelle aux teintes automnales et douces, loin d’être ternes pour autant, desquelles se démarquent des éléments étonnamment lumineux, et notamment les silhouettes des « fantômes » qui hantent le palais Garnier.




