



l’adolescence, figure le passage perturbant mais progressif d’un état à un autre ; elle s’achève avant même que ses acteurs aient pris la pleine mesure des bouleversements qui l’accompagnent.
ping-pong, déroulé sur une trentaine de pages, qui passe par toute la gamme des techniques picturo-narratives, combinant une extrême stylisation des images à un rythme accéléré évocateur des films d’action hollywoodiens. Le montage des scènes et la juxtaposition parfois surprenante de différents plans participent d'un humour avant tout graphique, qui naît de ce que l’œil est attiré vers son objet exactement au moment opportun. Ce qui compte, c'est la direction du regard.


