
Car c'est bien l'écriture de la série qui l'a imposée. À commencer par la construction des personnages : le héros, ce "je" sans nom interprété par Khojandi lui-même, trentenaire banal et médiocre -"Bref. Je suis comme tout le monde", dit le titre de l’épisode 11.
cette même affirmation. L'image revisite le texte tout comme le texte invite à voir différemment l'image. Et c'est bien sur ce concept répétable à l'infini que le personnage-narrateur explore ainsi la vie de tous les jours.
une série de vidéos dans lesquelles il commentait l’actualité cinématographique, intitulé Le festival de Kyan. Une trentaine d’épisodes hilarants, de moins de deux minutes chacun, avec Khojandi en grande forme. Bref : de vraies perles. 


