
celle de témoignages entendus et audibles dans la sphère universitaire. Le deuxième est de déployer une réflexion ambitieuse sur « la manière dont les auteurs […] se servent du langage pour transmettre [l’]expérience [des camps] à leur lecteur » (p. 21). La dernière est de permettre, par la matière inattendue qu’est la sienne, de déconstruire un grand nombre de poncifs de la littérature, et d’approcher autrement plusieurs catégories que d’aucuns pourraient considérer comme des topiques intouchables de la critique littéraire.



